Rage against the machine - Rage against the machine
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7th chamber Rookie
Nombre de messages : 117 Age : 30 Tu représente quelle ville : Bristol Ton(tes) Classic(s) : Enter the Wu-Tang (36 Chambers) Rappeur(s) préféré(s) : Zack de la Rocha Date d'inscription : 19/06/2011
Sujet: Rage against the machine - Rage against the machine Lun 20 Juin - 17:53
Rage Against the Machine est le premier album du groupe américain Rage Against the Machine, qui mélange des styles comme le hip-hop et le rock. Le groupe est impliqué politiquement : les paroles dénoncent des injustices commises par le gouvernement américain et parlent de différentes organisations politiques.
Track List
1. Bombtrack 2. Killing In The Name 3. Take The Power Back 4. Settle For Nothing 5. Bullet In The Head 6. Know Your Enemy 7. Wake Up 8. Fistful Of Steel 9. Township Rebellion 10. Freedom
Chronique
Il est des surprises et des révélations qu’on aurait aimé connaître et qu’on aimerait avoir connu plus souvent. Pas besoin d’être particulièrement cultivé pour savoir que la Californie est une véritable patrie du rock toutes nations confondues, abritant nombre de groupes au succès aussi récent que phénoménal. En réinventant la fusion, déjà exploitée par les Red Hot ou par quelques groupes cultes du hard rock (comme Aerosmith) en collaboration avec des artistes hip-hop (comme EPMD), Rage against the machine a inventé le rap metal. Le rap metal, qu’est ce que c’est ? Du chant parlé sur de la musique à la Led Zep ? Si l’on veut donner une définition simpliste de ce premier album, celle-ci pourrait convenir. Mais peut on vraiment définir de manière simpliste un album qui ne l’est pas (du tout) ?
Car RATM n’est pas un simple groupe précurseur du mouvement néo-metal, un vulgaire père spirituel de Korn, P.O.D. ou Deftones, non non, RATM, c’est avant toute chose RATM. En 1992, alors que cette formidable machine commerciale qu’était Nirvana inonde les radios de l’occident tout entier avec d’innombrables singles rapportant tous plus de fric les uns que les autres aux majors, la mode était au rock’n’roll péchu et à l’innovation, fût-elle simpliste. Alors pour ce premier album, Zack De La Rocha, Tim Commerford, Tom Morello et Brad Wilk n’ont pas lésiné sur les moyens : distribué par Epic et mixé par Andy Wallace (qu’on ne présente plus aux fans de Nirvana, SOAD ou Linkin Park), leur premier album éponyme avait tous les atouts nécessaires pour se réincarner en carton interplanétaire.
Et c’est ce qui arriva. Sauf que contrairement à certains sous-produits commerciaux que je me garderais bien de nommer, RATM ne doit pas son succès qu’à la pub. RATM, l’album, ce n’est autre que 10 titres, 10 tubes incontournables, 10 chansons cultes et fondatrices. Ni trop longs, ni trop courts, ces titres sont tous parfaitement équilibrés, et rares ont été les albums à pouvoir se vanter d’être aussi homogènes et variés. Rien n’a été laissé au hasard : quand les gros riffs de Bomtrack cèdent la place aux répétitions dantesques de Killing In The Name, c’est pour mieux nous surprendre avec un Take The Power Back mêlant habilement le son de Led Zeppelin aux rythmes du hip hop, mettant en avant un flow aussi limpide que percutant. Et quand la guitare se fait plus discrète, c’est pour mieux pointer du doigt une basse redondante et inquiétante à la Settle For Nothing, qui passera à un rythme bondissant avec Bullet In The Head, ou le groupe cultive comme personne l’art du calme avant la tempête. Know Your Enemy et Wake Up (n’est ce pas Mr. Anderson ?) retournent dans les rang du gros riff qui tâche, tandis que Fisftull of Steel et le très sombre Township Rebellion dérivent allègrement dans le groove teinté de hard rock. Reste enfin, pour clôturer l’œuvre, un indescriptible monument qui, au nom de la liberté, donne envie de tout foutre en l’air autour de soi.
« Brûle ! » crie Zack De La Rocha sur ce tube monumental qu’est Bombtrack, un titre qui n’aurait pu porter meilleur nom, « brûle » comme ce moine bonze qui orne la cover de l’album. Car RATM ne se bornait pas à nous écrire des paroles d’amour ou quelques gentilles conneries sous couvert d’une musique de qualité, avec son lot de soli inégalables et de refrains destructeurs, non non, RATM, messieurs dames, aura sans doute été l’un des groupes les plus revendicateurs de toute l’histoire du rock’n’roll. Altermondialistes convaincus, les 4 membres inamovibles, s’exprimant par le biais des lyrics de Zack, saisissants au possible, n’auront de cesse de dénoncer la mondialisation à l’américaine et l’empirisme glouton des USA, foutant le bordel à Wallstreet, au congrès démocrate ou jouant complètement nus quelques tubes sur un plateau de télé… Zack rappe beaucoup, ne chante pratiquement pas, et hurle souvent. « Ca vient des tripes » comme on dit, il suffit d’écouter les explosions finales de Bullet in The Head, Wake Up ou Freedom pour en prendre conscience. Tant de passion, de conviction dans cette voix éraillée, malmenée, répétant inlassablement « debout ! » ou « Liberté ! », laisse béat d’émotion l’auditeur quelque peu sentimental, et pourquoi pas sensible au sen propre du terme.
Et puisqu’il fallait oser toujours et encore, Tom Morello complète l’exceptionnelle palette artistique de RATM avec une flopé de solo hauts en couleur, accouchant de sonorités tenant pour certaines d’entre elles du jamais entendu. « Aucun sample, Keyboards ou synthétiseur n’ont été utilisés dans la conception dans cet enregistrement » peut on lire dans le livret… Surprenant à l’écoute de fûts aussi riches que Wake Up ou aussi insolites que Fisfull of Steel…
Album culte ? Précurseur ? Fondateur ? Novateur ? Hors du commun ? Est il vraiment nécessaire d’opérer une sélection parmi ces qualificatifs correspondant tous de la manière la plus parfaite qui soit à ce disque d’exception ? Il ne faut pas chercher plus loin les origines du neo metal, ni celles de l’enterrement du grunge au profit de la célébration de la fusion… 15 ans après, rien n’a changé : on se laisse emporter par le refrain de Bombtrack, on chante par coeur les lyrics de Killing in the name, on gesticule gaiement sur Wake up, on headbangue comme un *** sur Township rebellion, on tapote sur ses genoux quand on arrive à la fin de Bullet in the head, les écouteurs sur ses oreilles, dans le métropolitain, et bien sûr on ne peut se retenir de gueule Freedom en cœur avec De La Rocha après trois quarts d’heure d’intense plaisir... RATM est encore ce disque sans âge, sans commune mesure, sans détracteurs sérieux auquel il serrait grand temps de rendre hommage de la manière la plus humble et respectueuse qui soit. Mais restons sereins : en cette année 2007, le mythe est déjà redevenu réalité sur moult scènes américaines…
Par ALANKAZAME le 13 Juin 2007
7th chamber Rookie
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Lun 20 Juin - 17:57
Bombtrack
(Chanson Bombe)
Hugh ! He toi, c'est juste une chanson bombe de plus... . ouai ! He toi, c'est juste une chanson bombe de plus... . ouai ! Et un, deux, trois ouai ! . .
Ce n'est qu'un bombtrack de plus Et les **** pensent qu'ils peuvent l'effacer Mais je vais le larguer à un niveau supérieur Car je suis disposé à me baisser Pour donner à ceux qui n'ont rien Train rapide roulant sur un pauvre c'est ca Ils pensent mener le jeu Mais j'ai appris à brûler les ponts et à rayer Ceux qui concourent à un niveau qui est obsolète A la place, je me réchauffe les mains aux flammes du drapeau En même temps que je me remémore notre déchéance Et l'affaire qui nous a tous brûlé Je vois clair à travers les infos et les opinions qui déforment la réalité Assez Je relève le défi Destinée manifeste
Propriétaire et racoleurs au pouvoir A mon peuple ils s'en prennent tour à tour Contestent les procès auxquels je met le feu Puis les regardent brûler
Les pensées d'un esprit militant Revendication, revendication après revendication
Propriétaire et racoleurs au pouvoir A mon peuple ils s'en prennent tour à tour Contestent les procès auxquels je met le feu Puis les regardent brûler...
Brûler, brûler, oui tu vas brûler Brûler, brûler, oui tu vas brûler Brûler, brûler, oui tu vas brûler Brûler, brûler, oui tu vas bûler
Et un, deux, trois... Un super bombtrack radical de plus Au début juste une ébauche dans mon cahier Mais maintenant les bons riffs poussent Les autres mecs à avoir une autre attitude Mes pensées vous les entendez et vous commencez à craindre Que votre carte soit tirée si vous interférez
Avec les pensées d'un esprit militant Revendication, revendication après revendication
Propriétaire et racoleurs au pouvoir A mon peuple ils s'en prennent tour à tour Contestent les procès auxquels je met le feu Puis les regardent brûler
Brûler, brûler, oui tu vas brûler Brûler, brûler, oui tu vas brûler Brûler, brûler, oui tu vas brûler Brûler, brûler, oui tu vas bûler
Bombtrack ouvre le premier album du groupe de rap metal Rage Against The Machine; c'est aussi le troisième single du groupe et cette chanson critique ouvertement la différence qu'il y a entre les pauvres et les riches et constituera par la suite l'un des sujets les plus utilisés dans les chansons du groupe proclamant que "landlords and power whores" were going to "burn". Quand Tom Morello a commencé à jouer le riff de guitare de début de la chanson, les autres membres du groupe (qui étaient les membres de l'ancien groupe de Morello (Lock Up) ont trouvé cet accord tellement heavy et puissant. Le groupe a tourné un clip pour la chanson qui dépeint un soutien pour le Sendero Luminoso et Abimael Guzman. La pochette du single montre un portrait de Che Guevara. Le clip se déroule en Amérique du Sud où les membres du groupe jouent dans une cage.
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7th chamber Rookie
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mar 21 Juin - 0:10
Killing In The Name
(Tués Au Nom De...)
Tués au nom de Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Huh !
Tués au nom de ! Tués au nom de...
Maintenant vous faites ce qu'ils vous ont dit de faire (11 fois) Mais maintenant vous faites ce qu'ils vous ont dit de faire Et ouai maintenant vous faites ce qu'ils vous ont dit de faire
Ceux qui sont morts sont justifiés, car ils portent l'insigne et étaient les élus Blancs Vous justifiez ceux qui sont morts par le port de l'insigne et parce qu 'ils étaient les élus Blancs Ceux qui sont morts sont justifiés, car ils portent l'insigne et étaient les élus Blancs Vous justifiez ceux qui sont morts par le port de l'insigne et parce qu 'ils étaient les élus Blancs
Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Certains de ceux qui composent les forces sont les mêmes qui brûlent les croix Uggh !
Tués au nom de ! Tués au nom de...
Et maintenant vous faites ce qu'ils vous ont dit de faire (4 fois) Et maintenant vous faites ce qu'ils vous ont dit de faire, vous êtes sous contrôle (7 fois) Et maintenant vous faites ce qu'ils vous ont dit de faire !
Ceux qui sont morts sont justifiés, car ils portent l'insigne et étaient les élus Blancs Vous justifiez ceux qui sont morts par le port de l'insigne et parce qu 'ils étaient les élus Blancs Ceux qui sont morts sont justifiés, car ils portent l'insigne et étaient les élus Blancs Vous justifiez ceux qui sont morts par le port de l'insigne et parce qu 'ils étaient les élus Blancs Allons-y !
Ouai ! Allons-y...
Allez vous faire foutre, je f'rais pas ce que vous m'dites de faire (8 fois, doucement) Allez vous faire foutre, je f'rais pas ce que vous m'dites de faire ! (8 fois, en criant) Sale ****** ! Uggh !
Killing in the Name est la deuxième chanson de l'album homonyme Rage Against the Machine du groupe de rap-metal Rage Against The Machine sorti en 1992. C'est aussi le premier single du groupe. Comme la plupart des chansons du groupe, Killing in the Name semble dénoncer les liens entre les pouvoirs en place et le Ku Klux Klan comme en témoigne les vers "some of those that work forces, are the same that burn crosses" (Certains de ceux qui travaillent [au service de] la force, sont les mêmes qui brûlent des croix) "Those who died are justified, by wearing a badge, they're the chosen whites" (Ceux qui meurent sont justifiés, en portant un badge, ils sont les Blancs élus). Le 31 août 1999 le single a été recommercialisé avec une chanson Darkness of Greed ainsi que Clear the Lane qui était initialement la face B du premier vinyle du single. La pochette du single est la même que celle de l'album, à savoir l'immolation du moine bouddhiste Thích Quảng Đức en 1963 pour protester contre le meurtre de bouddhistes par le Premier Ministre Ngô Đình Diệm. La fin de la chanson est explosive, et l'impact de cette chanson fut retentissant aux États-Unis alors que le succès de cette chanson n'arriva en France qu'en 1994. Il y eut un clip de tourné pour la chanson qui fut le premier clip du groupe : il fut tourné en 1993 dans une petite salle de concert (tous les membres du groupe jouent torse nu hormis le chanteur qui apparait successivement en T-Shirt bleu et blanc). Au moment où Zack de la Rocha entame les dernières paroles, on voit un fan, monté sur la scène où joue le groupe, qui veut sauter dans la foule, mais un videur intervient pour l'en empêcher ; toutefois Zack vient et dissuade le videur de le faire, et on voit le fan sauter dans la foule. À la fin de la chanson on peut voir brièvement Zack faire un doigt d'honneur à la foule quand il hurle les derniers mots. La version intégrale du clip a été interdite sur MTV pendant longtemps mais est depuis réutilisée sur les chaines de musique. En concert Zack de la Rocha change parfois les paroles : au lieu de "Some of those that work forces, are the same that burn crosses", il dit "Some of those that burn crosses are the same that hold office". Lors d'un concert du groupe Killing in the name n'a pas été interprétée dans son intégralité puisque la chanson s'arrête après le deuxième refrain et donc après "Now you do what they told ya", chanté ici non pas par Zack mais par la foule. La chanson a été placée à la 89e place dans le classement des 100 meilleurs solos de guitare, classement fait par Guitar World et le Magazine Q a placé la chanson à la 24e place dans sa liste des 100 meilleures chansons faisant la part belle aux guitares et à la 99e place dans le classement des 100 meilleures chansons de tous les temps. Le groupe Audioslave dont la plupart des membres sont des anciens membres de Rage Against The Machine ont joué souvent cette chanson pendant leurs concerts et est également incluse dans le jeu Grand Theft Auto et passe sur la station de radio américaine Radio X dans ce célèbre jeu. Killing in the Name est aussi présente dans le jeu Guitar Hero 2 sur Playstation 2 et XBox 360. Cependant les paroles de la chanson sont changées dans les versions que l'on retrouve sur ces jeux vidéo : en effet "F**k you I won't do what you tell me" est ici remplacée par "You're under control, I won't do what you tell me!" et "Motherf**ker!" est remplacée par "You're under control". La Maison Tellier a fait une version acoustique de Killing in the Name qui possède un son folk distinctif. En juillet 2007 un remix de la chanson par SebastiAn a été jouée lors d'une émission de Zane Lowe qui est diffusée sur BBC Radio 1. Le comédien Bill Hicks a joué la chanson dans ses spectacles à la fin de sa vie. La chanson a été incluse dans le film Step Up 2 The Streets durant la scène de danse finale. The Apples un groupe de Tel Aviv a sorti une reprise de la chanson chez Freestyle Records. En 2004 le présentateur Glenn Beck a utilisé des parties instrumentales de la chanson comme thème musical pour son émission de radio et enfin le groupe islandais FM Belfast a fait une reprise électronique de la chanson appelé "Lotus". D'autres réinterprétations existent encore car "Killing in the name" a été repris par Biffy Clyro, Dj Earlybird, le groupe brésilien Lipstick et Rosqo.
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caviarman Auditeur de Rap
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mar 21 Juin - 13:38
7th chamber -> mélange rock et hiphop ça s'appelle de la fusion ou rapcore les skateurs connaissent bien. RATM a fait une album culte en effet avec cet opus, bon petit post et article sympa qui permet de reparler de ce genre de son que perso j'adore. Il faut pas oublié d'autres groupes mythiques en fusion aussi à savoir Body Count, Downset, Biohazard, Bloodhound Gang entre autres dont on a très peu entendu parler dans nos contrées étant donné qu'à l'époque seul Skyrock et Fun radio devait passer RATM en boucle et c'est tout ce qui se jouait en fusion sur les ondes. Rage même si c'est un groupe mythique est loin d'être le seul bon quelques exemples pour ceux qui connaissent pas la fusion, mouvement pourtant directement lié au rap mais aussi au skate, hiphop, punk, hardrock, grunge etc...
Les mythiques Born Dead et Cop Killer d'Ice T avec Body Count qui avaient fait couler beaucoup d'encre :
Un groupe bien fumé aussi Bloodhound Gang :
7th chamber Rookie
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mar 21 Juin - 13:45
Tu oublie de citer l'un des groupes les plus influent de la scene Fusion
Urban Dance Squad
Même si depuis ils ont viré au commerciale les Red Hot fessai déja de la Fusion en 1984
Même si la scène fusion est rester dans l'ombre de RATM ce dernier reste pour moi le plus grand groupe des 90's
caviarman Auditeur de Rap
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mar 21 Juin - 13:59
Yes Urban Dance Squad aussi terrible ! On peut aussi citer les Beastie Boys et même d'une certaine manière Cypress avec le deuxième CD de Skull & Bones. Le style avait plus ou moins débarqué aussi en France à l'époque je me souviens avec des groupes comme Silmarils ou Lofofora même si ça sonnait moins hiphop quand même.
7th chamber Rookie
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mar 21 Juin - 14:05
Le seul groupe Fusion français que je conais c'est No One Is Innocent sur leur premier album apres ca part dans d'autre truc.
Ensuite la Fusion à donné un petit frère bercé trop près du mur et de MTV qu'est le Neo-Métal (au fond j'aime quand même)
caviarman Auditeur de Rap
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mar 21 Juin - 14:12
C'est vrai que la fusion c'est un style à part, ça se rapproche du Hiphop, du hardrock, du punk rock etc... en tout cas je pense que c'est les deux style musicaux en pleine émergence et majeurs de l'époque des 90's à savoir : le rap et le grunge qui lui ont permis d'exister tel quel. C'est clair de toute façon que Rage quand tu parles de fusion il arrivent en première place, un peu comme Nirvana pour le grunge. Je me rappel à l'époque des ptites guéguerres entre hardos et rappeurs de l'époque qui disait que c'était ni l'un ni l'autre et quand t'écoutais ce genre de son en gros t'étais pas dans leur camp sans parler qu'à l'époque on s'habillait en fonction du style de musique qu'on écoutait pour se démarquer etc.
7th chamber Rookie
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Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mar 21 Juin - 14:19
Bullet In The Head
(Balle Dans La Tête)
Cette fois la balle t'a touché Un ruban jaune à la place d'une croix gammée Rien n'est vrai dans ta propagande Les imbéciles suivent les règles quand la bande dit de le faire Ils ont dit que le sang était bleu Quand il était rouge C'est comme ça que tu as reçu une balle dans la tête
Tirée dans ta tête Tirée dans ta tête
Je donne un coup pour te faire sortir du coma Dans lequel les fédéraux t'ont confiné et observé Ainsi condamné sur l'écran Tu fus hypnotisé Un téléphone cellulaire émmetant une tonalité de mort La société glacée Pourrais te transformer en pierre avant que tu ne réalise
Ils chargent le clip en omnicolor Ils enveloppent le 9, le balance à l'heure d'audiance maximale Le gaz anesthésiant, dans toutes les maisons comme à Alcatraz Et qu'elle aille se faire foutre la perte de leurs esprits
Juste victimes de manoeuvres faites maison Ils te disent saute, tu dis de quelle hauteur ? Ouai Juste victimes de manoeuvres faites maison Ils te disent saute, tu dis de quelle hauteur ? Allez !
(Solo de guitarre)
Juste victimes de manoeuvres faites maison Ils te disent saute, tu dis de quelle hauteur ? Juste victimes de manoeuvres faites maison Ils te disent saute, tu dis de quelle hauteur ?
Fout le, fout le, fout le dehors Ils chargent le clip en omnicolor Ils enveloppent le 9, le balance à l'heure d'audiance maximale Le gaz anesthésiant, dans toutes les maisons comme à Alcatraz Et qu'elle aille se faire foutre la perte de leurs esprits
Aucune issue au viol de masse des esprits Ils remettent à nouveau la cassète en marche, l'arrètent et la rembobine Et ils la passe encore, et encore et encore Jusqu'à ce que ton esprit soit bloqué Que tu croies tous les mensonges qu'ils te disent Que tu achètes tous les produits qui'ils te vendent Ils disent saute et tu dis de quelle hauteur ? Ton cerveau est mort Tu as une ****** de balle dans la tête
Juste victimes de manoeuvres faites maison Ils te disent saute, tu dis de quelle hauteur ? Ouai Juste victimes de manoeuvres faites maison Ils te disent saute, tu dis de quelle hauteur ?
Tu restes en ligne ) Tu croies aux mensonges ) Tu t'inclines devant le drapeau ) 2x Tu as une balle dans la tête )
Une balle dans ta tête (8 fois, crescendo) Une balle dans ta tête (7 fois, en hurlant) Tu as un balle dans ta ****** de tête ! Ouai ! Ouai ! (Qui dure jusqu'à la fin du roulement)
Bullet in the head est un single du premier album du groupe de rapcore Rage Against The Machine, dont le titre est également Rage Against The Machine. Il dénonce le système capitaliste américain. Ce morceau donne la possibilité au bassiste Tim Commerford de s'illustrer brillamment, notamment au début du morceau mais aussi vers le milieu de la chanson en exécutant un solo de basse. Le groupe prévient la population de ne pas croire le gouvernement américain sinon la mort l'attend (« standin in line, believ in lies, you're bowin down to the flag, you got a bullet in the head ») (« Bullet in the Head » signifiant une balle dans la tête). La fin de la chanson est monumentale puisqu'au moment où Zack de la Rocha hurle, Brad Wilk s'énerve à son tour sur sa batterie.
Dernière édition par 7th chamber le Mer 22 Juin - 11:08, édité 1 fois
7th chamber Rookie
Nombre de messages : 117 Age : 30 Tu représente quelle ville : Bristol Ton(tes) Classic(s) : Enter the Wu-Tang (36 Chambers) Rappeur(s) préféré(s) : Zack de la Rocha Date d'inscription : 19/06/2011
Sujet: Re: Rage against the machine - Rage against the machine Mer 22 Juin - 11:05
Freedom
(Liberté)
Seul, je suis un soliste sur une liste de solitaire Tout en direct, jamais sur une disquette Encre de, encre de, bouteille d'encre Des tableaux de rébellion Dessinés par les pensées qui me traversent
Ouai ! Allez ! Le poête militant revient en forçe, retiens ça
C'est comme un jeu de cartes Ils nous envoient trop tôt à la tombe Pour tous les carreaux Ils utiliseront une paire de trèfles pour battre les piques Avec la poésie je peins les images qui frappent Plus fort que les fresques taguées qui vont bien Ne te détourne pas Mets-toi devant
Mon pote, est-ce que tu as oublié ton nom ? Est-ce que tu l'as perdu sur le mur En jouant au morpion
Yo regarde la diagonale Trois potes morts Allez Ca fait pas trois à la suite ?
Dit tout bas : La colère est un don
Allez ! Uggh !
(Solo de guitarre)
Mon pote, est-ce que tu as oublié ton nom ? Est-ce que tu l'as perdu sur le mur En jouant au morpion
Yo regarde la diagonale Trois millions de morts Allez Car tu sais qu'ils comptent à rebours jusqu'à zéro
L'environnement L'environnement dépassant le niveau De notre inconscience Par exemple Que dit le panneau Viens, viens jouer Oublie le mouvement
Dit tout bas : La colère est un don
Ouuaaaaiiiii ! Uggh ! ****** fout cette ***** en l'air ! Uggh ! Hey !
Liberté... ouai... Liberté... ouai c'est ça... Liberté... ouuaaaii ! Liberté ! Ouai ! Liberté ! Ouai c'est ça ! Liberté ! Ouai ! Liberté ! Ouai ! C'est ça !
Jeu de mots sur spades(piques) : les noirs en argot.
Panneau
Panneaux publicitaires : Egalement, des panneaux portant les inscriptions blanc ou noir ètaient disposées à l'entrée de chaque lieu public dans les années 1920.
Freedom est le second single du premier album (intitulé Rage Against The Machine) du groupe de rap metal éponyme. Il a fait l'objet d'un clip ; ce clip dépeint la vie que mène Leonard Peltier depuis qu'il a été emprisonné pour, semble-t-il, un crime qu'il n'aurait pas commis. Le groupe s'est énormément mobilisé pour obtenir la libération de Peltier, d'où le nom de la chanson et l'explosion de rage de Zack de la Rocha à la fin de la chanson quand il crie ce mot : il semble être hanté par ce mot quand il interprète ce morceau sur scène. Auparavant Freedom clôturait les concerts du groupe mais depuis leur reformation en 2007, ils finissent leurs concerts soit par la fin de Township Rebellion (qui vient immédiatement après la fin de Freedom) soit par Killing in the name.
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